Le bon et le dur vont de paire.

Le Monde dans lequel nous vivons se perd dans cette unique pensée du bien, du gentil et du doux.

On ne doit plus crier, taper, s'exprimer plus que normal.

Et lorsque arrive un drame, on défile dans le silence d'un troupeau de moutons n'ayant d'autres solution que de se taire face à la violence.

Mais la violence est à la bonté ce que l'armée est à un pays: La capacité de défendre ses convictions, de se faire écouter et obéir.

Pour quoi faut-il toujours tomber dans les excès de la mollesse humaine? Pourquoi les villes censées protéger le citoyen ne savent plus le faire? L'homme se noie dans sa naïveté de sa bien-pensance.

Les voleurs s'arrêteront-ils parce que ce n'est pas honnête? Les violeurs s'arrêteront-ils parce que ce n'est pas bien ? Les terroristes se calmeront-ils devant notre Société molle mais "Humaine"?

Résultat, la cité, lieu de protection, devient un cimetière des innocents et un fief de ceux qui savent manier cette arme qu'est la violence.

Alors, n'oublions pas de regarder Mère nature, quand le lion met une raclée à son rival, quand le Buffle charge un félin pour protéger son petit ou quand le serpent nous pique mortellement pour se défendre.

Pour que le bon puisse gagner, il faut qu'il s'allie avec la violence ou la force, qui n'ont jamais été dédiées au Mal uniquement.

Quand j'aime, je protège, et quand je protège, je me donne les moyens de le faire, de façon proportionnée, mais avec l'absence de limite dans ma violence qui me permettra ainsi d'avance plus de chance de gagner.

Si la Société se dote d'une force juste mais plus grande que toutes celles du mal, alors, le bon l'emportera et la sérénité régnera.